Dans Une forge, des forges... ou autre chose ? et Slow dev ?, j'évoquais respectivement le phénomène de prolétarisation du développeur par des outils imposés et la prescription de rythme par les principes de base des méthodes agiles.
L'image qui vient alors naturellement à l'esprit est celle-ci:
Les outils imposés sont la machine sur laquelle travaille Charlot; le rythme imposé par les principes des méthodes agiles est la vitesse du tapis et des engrenages.
La rationalisation par le management pousse vers cette image de développeurs au service d'outils et de rythmes imposés.
Ce mouvement n'est cependant nullement une fatalité. Il est possible de résister à cette adaptation forcée en ménageant des possibilités de créer et adopter de nouvelles pratiques et de nouveaux outils.