Quelques remarques sur le mouvement agile et le "software craftsmanship", suite à mon commentaire sur le blog de Christian Fauré.
Dans La mètis du développeur, j'évoquais le kairós, c'est-à-dire le bon moment, l'occasion d'agir.
Quelques idées après la lecture de
Ce mois-ci j'ai eu le plaisir de récolter des haricots verts. A cette occasion, je me suis rendu compte que ma méthode de récolte se rapproche de ma façon de développer un logiciel.
Ce document se veut être une contribution à une réflexion sur le métier d'"ingénieur" de développement logiciel dans le milieu de la recherche, plus précisément ici un institut public de recherche en informatique.
Il s'agit d'un point de vue personnel sur mon métier.
Ce document ne couvre pas toutes mes activités mais détaille pour l'instant la seule partie "développement de logiciel", la plus importante en terme de temps passé.
Dans Ce que sait la main de Richard Sennett, l'auteur rappelle que l'apprentissage passe par la répétition des gestes.
J'ai découvert en Novembre dernier seulement le Manifesto for software craftsmanship qui revendique l'aspect artisanal de l'activité de développement logiciel.
Pour faire suite à Une forge, des forges... ou autre chose ?, prenons l'image de l'artisan menuisier et son atelier.
J'ai appris il y a quelques temps que l'origine du mot "délit".
La question des forges de développement logiciel agite pas mal les différents établissement de l'enseignement supérieur et de la recherche (ESR). Certains voudraient une forge pour leur établissement, d'autres plutôt une forge nationale, ...
Pourtant, il me semble qu'une forge unique, qu'elle soit nationale ou par établissement, est une mauvaise réponse aux besoins divers de la communauté des développeurs.