Pour faire suite à Une forge, des forges... ou autre chose ?, prenons l'image de l'artisan menuisier et son atelier.
Dans Une forge, des forges... ou autre chose ? et Slow dev ?, j'évoquais respectivement le phénomène de prolétarisation du développeur par des outils imposés et la prescription de rythme par les principes de base des méthodes agiles.
La question des forges de développement logiciel agite pas mal les différents établissement de l'enseignement supérieur et de la recherche (ESR). Certains voudraient une forge pour leur établissement, d'autres plutôt une forge nationale, ...
Pourtant, il me semble qu'une forge unique, qu'elle soit nationale ou par établissement, est une mauvaise réponse aux besoins divers de la communauté des développeurs.